Venu, rien vu, perdu : le GD français 2006

Article publié le samedi 3 juin 2006 par Denis



Décembre 2005, l’année prochaine c’est sûr, on arrive les mains pleines d’entrées pour le GD. Allez hop, deux billets achetés (30 euros, c’est cadeau). Avril 2006 : ben finalement une seule entrée pour deux : Jaeckel pour les halflings et Haekel pour le tas de bois :o)

Arrivée à midi et tiens donc : la queue à l’entrée du Stade de France. Il faut dire aussi qu’on case 500 personnes de plus que l’année dernière dans les mêmes locaux : ça promet pour 2007.

C’était annoncé et c’est plutôt bien vu : l’enregistrement des entrées se fait enfin par catégorie, et on n’attend même pas 5 minutes (comme en Allemagne quoi). Après par contre, rien de neuf, c’est-à-dire du monde partout, et pas moyen de voir la moindre figurine : elles sont exposées sur des tables de 80 cm de haut, très pratiques pour les hobbits, hélas absents ce jour-là.

Certaines vitrines sont même astucieusement protégées par des plantes, pour décourager les plus curieux qui voudraient voir les figs de côté :

Heureusement qu’il y a quelques braves compaings pour patienter jusqu’à 16h00 (c’est long quatre heures). Ici Borgio a l’aisselle qui le démange, serait-ce un signe du dieu des peintres ?

Ah tiens, 16h00, les gens commencent déjà à récupérer leurs figos tandis que les finalistes ne sont toujours pas visibles dans les vitrines d’exposition. Notez, pour 30 euros, on n’est pas déçu, c’est de la belle vitrine :

17h00 : la remise des prix commence et aucune annonce n’a été faite dans la salle réservée à l’exposition des figurines (curieusement, certains peintres primés manqueront à l’appel). Le rétro-projecteur fait ENFIN son apparition : la définition n’est pas tip-top (bien malin qui devinera les couleurs des figs qu’il n’aura pas vues avant), mais au moins, on sait qui a gagné et avec quoi. Bravo aux vainqueurs, encore plus à ceux qu’on connaît ;-)

Même quand il perd, Jaeckel trouve le moyen de se la péter en signant des autographes :

17h30 : ça y est, les finalistes n’ont plus qu’à courir après un mec du staff pour récupérer leurs entrées : la fête est finie, les tables sont toutes pliées, et on te pousse gentiment vers la sortie.

Bref, une journée pas terrible, heureusement sauvée par cette magnifique figurine :

Je déconne...

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